Julia Scalbert a un projet : celui de
peindre un “univers d'objets non identifiables” dont la
présence serait “signifiée mais pas explicitée”.
Ce disant, elle s'inscrit dans les pas des grands maîtres de
l'infigurable, Cézanne ou Bacon, rappelant que la peinture peut
échapper à l'ordre du dicible tout en restant la trace dynamique
de la pensée humaine.
(Conclusion d'un texte de
Françoise
Lonardoni.)
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